Boefish

Boefish

C’est dans le Vieux-Port de Montréal que l’idée est née : sortir la grilladerie de la ville et l’apporter en région, tout en gardant la qualité du service, une ambiance festive et la fraîcheur des aliments. C’est exactement ce qu’Alain Campeau, le propriétaire de Boefish, a mis sur pied au cœur de la ville de Sherbrooke : une table haut de gamme de steaks et de poissons frais méditerranéens. Le Boefish est la définition même d’une belle soirée entre amis, collègues ou en famille. Il ne manque pas non plus de sortir du lot avec sa carte de vins diversifiés et grandement abordables. « Je souhaite que les gens oublient où ils sont, qu’ils prennent le temps de se regarder dans les yeux, de déguster un bon verre de vin, d’observer la cuisine faire sa magie et de se régaler dans une ambiance enivrante », explique Alain Campeau.

C’est avec l’expérience d’Alain et de Lana Godbout, la cheffe, que le menu prend tout son sens. En effet, Lana a travaillé de nombreuses années auprès d’établissements de style grilladerie à Montréal. Elle ira même jusqu’à faire l’expérience d’un restaurant 3 étoiles Michelin à Chicago pour ajouter des cordes à son arc autant personnel que professionnel. Elle qui n’avait jamais mis les pieds dans la plus grande ville des Cantons-de-l’Est a accepté de venir s’y installer après une visite qui l’a charmée. Cette cheffe d’orchestre de la cuisine est impressionnante à voir à l’œuvre, et c’est exactement pour cette raison qu’Alain me pointe une énorme rangée de miroirs installée au-dessus de la cuisine : « Nous avons installé des miroirs pour que les gens puissent voir l’authenticité de notre cuisine. Qu’ils puissent goûter avec leurs yeux, avant d’avoir l’assiette devant eux. » 

Bien que l’endroit soit renommé pour ses énormes pièces de viande, comme le Tomahawk, le menu du Boefish est rempli de surprises vraiment impressionnantes accompagnées de légumes de saison et de produits du Québec. C’est avec un bar cru que le menu débute : huîtres fraîches, tartares et pattes de crabes sont offerts. Arrive ensuite un choix diversifié d’entrées, comme les ailes de canard du lac Brome, les raviolis de champignons forestiers ou les tacos de bœuf vieilli. Ils sont un prélude décadent au reste du menu qui met à l’honneur une grande sélection de la terre et de la mer, comme le steak gorgonzola, le thon rouge, le homard ou un terre et mer (surf and turf) bien en règle : un filet mignon servi avec crevettes grillées et beurre au safran. Et si vous avez le cœur à la fête, pourquoi ne pas ajouter un os à moelle ou du foie gras saisi à votre repas? Quel festin!

Afin que l’expérience soit complète, un DJ est sur place pour combler la totalité de vos sens. Un bar central est également à votre disposition avec une variété de cocktails pour assouvir tous les goûts : mojito aux fruits des champs, Old Fashion, bières de microbrasseries ou même, pour les plus festifs, un Dom Pérignon Brut! Sous l’éclairage tamisé de la salle à manger, Alain Campeau ajoute à l’entretien avec une phrase qui synthétise clairement sa vision : « C’est vraiment important de pouvoir se rassembler dans un endroit où il est possible d’oublier ce qui se passe dans nos vies à l’extérieur, et c’est d’autant plus important en ce moment. » Le réconfort peut prendre différents visages, et le restaurant Boefish peint une image aux allures de fête où se rencontrent plaisirs gourmands et célébration.